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  • Si vous êtes très curieux et motivé, voici certainement un des livres le plus complet sur la plante.

    Il vous suffit de cliquer sur l'image pour pouvoir le consulter.

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  • Capacités dépolluantes de l’Aloe vera
    Petit, on nous apprenait qu’il ne fallait jamais garder une plante verte dans une chambre sous peine d’être asphyxié pendant la nuit. La fonction chlorophyllienne étant inversée la nuit, la plante « pompe » de l’oxygène et dégage des produits toxiques comme le monoxyde de carbone. Toutefois, si cette fonction respiratoire reste confirmée pour certaines plantes, les rejets sont négligeables en comparaison à la quantité d’oxygène rejetée dans la journée, et d’autres plantes, dont l’aloe vera, détiennent des propriétés qui dépassent ce concept établi et dépolluent plus qu’elles ne polluent.

     

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    Les scientifiques sont unanimes. Certaines plantes s’avèrent être de formidables agents de dépollution de nos intérieurs. Elles réussissent à capturer les particules nocives suspendues dans l’air des différentes pièces d’une habitation jouant ainsi un grand rôle dans la purification de l’atmosphère. Et cette faculté surprenante agit tout aussi bien la nuit que le jour.

    Ainsi dans un environnement clos, elles éliminent des produits chimiques présents dans l’air, et notamment le formaldéhyde (composé organique volatil toxique), le toluène (irritant), le benzène et le trichloroéthylène (cancérigènes) qui sont générés par la détérioration des isolants, par l’utilisation de solvants, de produits d’entretien ammoniaqués, de colles, de peintures (…) et par la fumée de cigarette. Elles ont également la capacité d’intercepter les ondes électromagnétiques émanant des ordinateurs, des fours à micro-ondes, des téléviseurs et des téléphones.


    Comment ça marche ?


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    Le principe de dépollution par les plantes, que vous pouvez suivre sur le schéma ci-dessus, repose sur le biais d’échanges gazeux. Les molécules indésirables présentes dans l’air sont absorbées par les feuilles. Des micro-organismes vivant dans les racines détruisent les polluants et les convertissent en produits organiques qui servent alors à nourrir les plantes.
     


    La plante émet ensuite de la vapeur d’eau par un processus nommé transpiration et améliorent ainsi naturellement le taux d’humidité et d’oxygène dans la maison.

    Les spécialistes estiment que l’efficacité maximum est obtenue par un minimum d’une plante par 9 m2. Plus les plantes sont grosses, plus la surface de feuille est importante et donc plus l’échange gazeux sera important. Les plantes peuvent être installées dans toutes les pièces y compris les chambres.

     

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    Et l’aloe vera ?

    L’aloe vera, dont nous vous parlons tant pour ses vertus hydratantes et nutritives, fait partie de ces plantes dépolluantes. Du fait même de sa composition biologique et chimique, il est capable d’absorber de grandes quantités de monoxyde de carbone et de formaldéhyde. Dans un moindre volume, il s’avère également efficace contre le benzène, le toluène, divers éléments allergènes de la maison, tel que les acariens. Aussi certaines études montrent qu’il peut lutter contre les ondes électromagnétiques.

    Cette plante se plaira donc dans la chambre ou dans le salon près d’un ordinateur ou d’un téléviseur. Pour garantir un rendement optimal, vous devez prévoir une plante d’aloe vera pour une pièce de 9 à 10 m².

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  •  
    Par Caroline Gagnaire : Naturopathe à Nice. Diplômée de l'AVCN Agréée par la FENAHMAN (Fédération Française de Naturopathie) Affiliée à l'OMNES (Organisation de la Médecine Naturelle)
    Extrait d’un article publié le 08/04/2013 sur le site http://www.vulgaris-medical.com
     
     
     
    « On entend tellement parler de l’ aloe vera qu’on a l’impression qu’il sert à tout… Digestion… Brûlures… En interne… En externe… L’ aloe vera tient-il vraiment toutes ses promesses ?
    Présentation de l’aloe vera
    L’aloe vera fait partie des aloès (300 espèces tout de même) et celui qu’on utilise en thérapeutique porte le nom officiel d’Aloe Vera Barbadensis Miller. On le trouve notamment dans les régions tropicales ou subtropicales. Haut de 80 cm environ, il présente des feuilles épaisses, de forme triangulaire (on confond souvent l’aloe vera et l’agave), dont la pulpe n’est autre que le gel d’aloe vera.
    Les vertus de l’aloe vera
    Après cette présentation en bonne et due forme, quittons la botanique pour nous intéresser au contenu de cette fameuse pulpe. De fait, le gel d’aloe vera contient une multitude de nutriments des plus intéressants : 17 vitamines, 18 acides aminés (dont 7 essentiels), 20 minéraux (les principaux sont là !), et des enzymes (dans l’ordre alphabétique pour ne pas faire de jalouse : amylase, catalase, cellulase, lipase, oxydase, et phosphatase), pour ne citer qu’eux (je vais peut-être vous épargner la liste des 75 éléments nutritifs et des 200 composants que l’on y retrouve ? Quoique, si vous insistez…)
    On se doute bien que, doté de tous ces éléments, le gel d’aloe vera est forcément intéressant pour nous… En tous les cas, il est utilisé depuis des millénaires : les médecins grecs y avaient déjà recours.
     
     
     
    En utilisation interne :
    - les vitamines et minéraux présents permettent de stimuler les défenses immunitaires d’une part, et de revitaliser l’organisme d’autre part ;
    - l’ensemble des nutriments que possède le gel d’aloe vera répondent à certaines carences alimentaires (ce qui ne veut pas dire que la consommation de gel d’aloe vera doit se substituer à une alimentation équilibrée !) ;
    - les enzymes plus particulièrement contribuent aux mieux-être intestinal en améliorant l’absorption des aliments : le métabolisme est de fait facilité ;
    - le gel d’aloe vera est riche en mucopolysaccharides (comme le glucomannane et l’acemannane) qui contribuent à l’entretien de la flore intestinale (d’où un effet antifongique à travers le rééquilibrage de la flore intestinale, et donc la diminution de flore pathogène et des champignons). Ils favorisent aussi la perméabilité de la muqueuse intestinale, et donc renforcent de cette façon les défenses naturelles ;
    - ces polysaccharides créent également une sorte de film visqueux qui joue un rôle de pansement sur les parois gastriques : le gel d’aloe vera est donc intéressant aussi bien dans les cas d’ulcères que dans ceux d’hyperacidité au niveau de l'estomac.
     
    En utilisation externe :
    - le gel d’aloe vera lutte efficacement contre les brûlures (et donc les coups de soleil) et facilite la cicatrisation (diminution des processus inflammatoires) ;
    - il lutte également contre le vieillissement (mais tout le monde n’appréciera pas son utilisation en tant que telle sur l’ensemble du visage…), et stimulerait la production de collagène
    Cléopâtre l’aurait utilisé : cela veut tout dire !!!
    Tous les gels d’aloe vera se valent-ils ?
    Nooooooooooooooon !
    Pour un usage interne, il est essentiel, indispensable, que dis-je, impératif, de choisir un gel d’aloe vera à l’état naturel et sans transformation, obtenu par stabilisation à froid. C’est la seule forme d’aloe vera qui en garantisse toutes les propriétés. Pourquoi ?
    La stabilisation à froid permet au gel de conserver ses propriétés, et reste la méthode la plus performante à ce jour : le gel consommé correspond bien à celui qui est contenu dans les feuilles.
    Vous vous doutez bien que cette technique est plus difficile (et coûteuse) à réaliser que le broyage des feuilles, donnant un jus qui sera pasteurisé (exit les enzymes et les vitamines) pour assurer sa conservation : autant dire qu’il ne reste plus rien dedans. Une autre méthode consiste à réhydrater de la poudre de feuilles (et à rajouter quelques produits chimiques, tant qu’à faire…) : le constat reste le même.
    Ce sont ces deux dernières techniques qui sont les plus employées dans le cadre de la fabrication de ce qu’on appellera dans ce cas du jus d’aloe vera : donc, avant d’acheter du gel d’aloe vera, il faut bien s’assurer qu’il s’agit de gel obtenu par stabilisation à froid. Sinon, autant boire de l’eau : ce sera plus économique et plus sain (notamment à cause de l'aloïne, dont je parle un peu plus loin) ! Puis une fois ouvert, direction le réfrigérateur ! Le gel va s’oxyder très vite : autant suivre sa cure sans perdre de temps… En ce qui concerne les produits cosmétiques, il faudra bien s’assurer que le gel tel que décrit soit l’ingrédient principal du produit proposé.  
     
     
     
     
     
    Alors, aloe vera ou pas ?
    En externe pour adoucir mon grain de peau et corriger mes imperfections ? Sans hésitation ! Coquetterie mise à part, le gel d’aloe vera présente de belles qualités, autant en interne qu’en externe. Ce serait donc dommage de se priver … »
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    5 commentaires
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    Cette plante appartient à la famille des Liliacées. C'est une succulente et doit donc être entretenue comme telle. A savoir qu'elle n'apprécie pas trop le soleil direct sur ses feuilles qui pourraient alors jaunir et se dessécher irrémédiablement. Elle peut être de sortie à la belle saison. Elle ne s'en portera que mieux. Cependant, dès que la température atteint les 5 °C, il est préférable de la rentrer dans un endroit clair à température ambiante normale et éviter les rebords de fenêtre exposés plein sud.
     

    Le meilleur récipient pour ce genre de plante est un pot en argile, assez large, car les racines de l'aloès s'étendent horizontalement. L'arrosage doit être modéré, mais le terreau ne doit pas se dessécher entre deux arrosages. Pour une croissance optimale, il est d'ailleurs recommandé de lui fournir un substrat en mélangeant sable, terre et terreau pour plante d'intérieur.

     
     
    Dès la troisième année, si tout va bien, les propriétaires verront apparaître, au printemps, quelques drageons à la base de la plante, sous la première rangée de feuilles. Ces « bébés » peuvent être détachés du pied mère au moyen d'un couteau aiguisé et plantés dans des godets remplis du même mélange de substrat que « maman ».
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